dimanche, mars 26, 2006
samedi, mars 25, 2006
Saturday loose fever
Naturellement, il était tout à fait indispensable de me retrouver nez à nez avec une fanfare survoltée en pleine reprise du thème d'Indianna Jones pour debuter cette longue et éprouvante journée de gueule de bois...
vendredi, mars 24, 2006
vendredi, mars 10, 2006
Evolution du langage
Après avoir entendu moults "t'es bonne", "tu suces?" et autres "va te faire enculer" on ne peut plus éculés, j'ai eu enfin droit à quelque-chose d'innovant.
"Pouic-Pouic", illustre habitué de la librairie s'est approché de moi dans son halot pestilenciel, a pointé son doigt vers moi, et m'a annoncé d'un ton sentencieux :
Bah pourquoi?
"Pouic-Pouic", illustre habitué de la librairie s'est approché de moi dans son halot pestilenciel, a pointé son doigt vers moi, et m'a annoncé d'un ton sentencieux :
"Vous, allez vous faire exorciser".
Bah pourquoi?
mercredi, mars 08, 2006
mardi, mars 07, 2006
lundi, mars 06, 2006
Charité Croftienne
Le bonheur c'est de trouver une personne dévouée pour m'aider pendant ma semaine rituelle où j'ai envie de bouffer tout le monde.
Quelqu'un de prêt à m'offrir un indéfectible soutien.
Quelqu'un qui endurerait mes pires tourments sans moufter.
Quelqu'un capable de souffrir les plus horribles tortures pour me soulager des miennes.
Ce bonheur, je l'ai trouvé.
Je lui ai cassé ses p'tites pattes une bonne centaine de fois.
Je lui ai fendu le crâne avec entrain.
Je l'ai regardé se noyer les yeux débordants de joie.
Je l'ai laissé se faire embrocher sans bouger.
Je l'ai aussi fait griller lorsque l'occasion m'en était donnée.
Et rien.
Pas une plainte.
Pas une remontrance.
Elle est toujours là.
Vaillante.
Prête au supplice suivant.
Et ça, ça fait trop plaiz'...
Quelqu'un de prêt à m'offrir un indéfectible soutien.
Quelqu'un qui endurerait mes pires tourments sans moufter.
Quelqu'un capable de souffrir les plus horribles tortures pour me soulager des miennes.
Ce bonheur, je l'ai trouvé.
Je lui ai cassé ses p'tites pattes une bonne centaine de fois.
Je lui ai fendu le crâne avec entrain.
Je l'ai regardé se noyer les yeux débordants de joie.
Je l'ai laissé se faire embrocher sans bouger.
Je l'ai aussi fait griller lorsque l'occasion m'en était donnée.
Et rien.
Pas une plainte.
Pas une remontrance.
Elle est toujours là.
Vaillante.
Prête au supplice suivant.
Et ça, ça fait trop plaiz'...