vendredi, septembre 29, 2006
lundi, septembre 18, 2006
dimanche, septembre 03, 2006
God save the spathiphyllum
Il tient à ce que je recommence...
Pourtant, j'ai quand même de gros antécédents ;
Jean-Pierre, un magnifique yucca, mort désséché dans d'affreuses souffrances ;
Eugène, le mini-rosier, foudroyé d'un simple regard ;
et la liste ne s'arrête pas là, loin s'en faut.
Pour lui, c'est facile, elles frétillent des feuilles de joie dès elles l'aperçoivent ;
sauf que quand c'est moi, je suis convaincue, qu'elles frétillent d'angoisse.
Pourtant, j'ai quand même de gros antécédents ;
Jean-Pierre, un magnifique yucca, mort désséché dans d'affreuses souffrances ;
Eugène, le mini-rosier, foudroyé d'un simple regard ;
et la liste ne s'arrête pas là, loin s'en faut.
Pour lui, c'est facile, elles frétillent des feuilles de joie dès elles l'aperçoivent ;
sauf que quand c'est moi, je suis convaincue, qu'elles frétillent d'angoisse.
vendredi, septembre 01, 2006
mardi, juin 27, 2006
mercredi, mai 03, 2006
(...)
Ils ont fait piquer ma boule de poil cancérigène...
Après 10 ans de bons et loyaux emmerdements ;
De pissage dans les trousses de toilettes ;
De violage de husky dans les coins sombres ;
De dégradage éhonté de meubles et autres canapés, coussins, rideaux, et autres.
C'est pas grand chose
Sauf que ça me fout en vrac.
Et je n'ose même pas imaginer ce que ça va être quand il faudra que j'annonce la nouvelle à Moriss, son ex-poisson rouge de compagnie...
jeudi, avril 20, 2006
Them
Je croyais pas que ce fut possible;
Que sur plus de 6 milliards de personnes je serai amenée à croiser celle-ci;
Mon double;
Mon frère;
Un peu comme ces mammouths persuadés d 'être les derniers opossums de leur espèce et qui un jour en voient débarquer une bonne tripotée;
Oui, aujourd'hui, dans la rue, à une heure de grosse affluence, ne cherchant pas de raccourcis que de toutes façons je n'aurais jamais trouvé, j'ai croisé quelqu'un qui chantait Chapi-Chapo!
Et faux en plus.
Que sur plus de 6 milliards de personnes je serai amenée à croiser celle-ci;
Mon double;
Mon frère;
Un peu comme ces mammouths persuadés d 'être les derniers opossums de leur espèce et qui un jour en voient débarquer une bonne tripotée;
Oui, aujourd'hui, dans la rue, à une heure de grosse affluence, ne cherchant pas de raccourcis que de toutes façons je n'aurais jamais trouvé, j'ai croisé quelqu'un qui chantait Chapi-Chapo!
Et faux en plus.
samedi, avril 15, 2006
Faudrait voir à pas pousser mémé dans les buissons ardents
(soupir admiratif)
_ "Faut vraiment avoir la foi pour travailler içi...
(blasphèm'attitude)
_ Ou on peut aussi être totalement athée, mais juste avoir besoin d'thunes."
_ "Faut vraiment avoir la foi pour travailler içi...
(blasphèm'attitude)
_ Ou on peut aussi être totalement athée, mais juste avoir besoin d'thunes."
dimanche, avril 02, 2006
samedi, avril 01, 2006
"Moi, c'est Pouic-Pouic, détectective Pouic-Pouic"
On peut pas dire qu'on avait débuté sur de bonnes bases ; lui me gratifiant d'un vil "vous, allez vous faire exorciser" et moi me braquant sur d'aussi insignifiants détails que cette tâche de sauce tomate sur sa chemise, vieille de quelques mois et semblant dotée d'une vie propre.
Et puis les choses se sont tassées, il me saluait d'un complice "tiens, voilà Belzébuth" tandis que moi j'ouvrais portes et fenêtres afin d'entourer sa présence d'un souffle d'air salvateur développant mes capacités apnéiques.
Pris d'un élan de sympathie, il m'entretenait de "protoplasmes pseudo-conceptuels amorphes", de cette "race inférieure", ces "sous-hommes" que sont les Pâpes.
Et puis un jour, au détour d'une conversation anodine, il m'a révélé ses projets. S'il quittait la librairie c'était pour filer à la médiathèque c'était pour "penser, car penser, c'est être", suivant un rite immuable, tout comme "Kant avait l'habitude de suivre une même promenade". Cette réflexion médiathesque n'avait pas comme seul but une stérile réflexion, mais ainsi il "avancait ses pions pour le pouvoir".
Car Pouic-Pouic, sous ses aspects de gros dégueulasse dégénéré avait la secrête ambition de devenir un jour "le futur Maître du Monde".
Et l'unique raison pour laquelle je ne l'agresse pas à grands coups de Karcher quand il passe la porte de la librairie, c'est que je me dis qu'en tant que Belzébuth, j'ai peut être une chance de dégotter un taf à la direction du Monde.
Et puis les choses se sont tassées, il me saluait d'un complice "tiens, voilà Belzébuth" tandis que moi j'ouvrais portes et fenêtres afin d'entourer sa présence d'un souffle d'air salvateur développant mes capacités apnéiques.
Pris d'un élan de sympathie, il m'entretenait de "protoplasmes pseudo-conceptuels amorphes", de cette "race inférieure", ces "sous-hommes" que sont les Pâpes.
Et puis un jour, au détour d'une conversation anodine, il m'a révélé ses projets. S'il quittait la librairie c'était pour filer à la médiathèque c'était pour "penser, car penser, c'est être", suivant un rite immuable, tout comme "Kant avait l'habitude de suivre une même promenade". Cette réflexion médiathesque n'avait pas comme seul but une stérile réflexion, mais ainsi il "avancait ses pions pour le pouvoir".
Car Pouic-Pouic, sous ses aspects de gros dégueulasse dégénéré avait la secrête ambition de devenir un jour "le futur Maître du Monde".
Et l'unique raison pour laquelle je ne l'agresse pas à grands coups de Karcher quand il passe la porte de la librairie, c'est que je me dis qu'en tant que Belzébuth, j'ai peut être une chance de dégotter un taf à la direction du Monde.
(Tout les citations sont attribuables à ce grand penseur qu'est Pouic-Pouic)
dimanche, mars 26, 2006
samedi, mars 25, 2006
Saturday loose fever
Naturellement, il était tout à fait indispensable de me retrouver nez à nez avec une fanfare survoltée en pleine reprise du thème d'Indianna Jones pour debuter cette longue et éprouvante journée de gueule de bois...
vendredi, mars 24, 2006
vendredi, mars 10, 2006
Evolution du langage
Après avoir entendu moults "t'es bonne", "tu suces?" et autres "va te faire enculer" on ne peut plus éculés, j'ai eu enfin droit à quelque-chose d'innovant.
"Pouic-Pouic", illustre habitué de la librairie s'est approché de moi dans son halot pestilenciel, a pointé son doigt vers moi, et m'a annoncé d'un ton sentencieux :
Bah pourquoi?
"Pouic-Pouic", illustre habitué de la librairie s'est approché de moi dans son halot pestilenciel, a pointé son doigt vers moi, et m'a annoncé d'un ton sentencieux :
"Vous, allez vous faire exorciser".
Bah pourquoi?
mercredi, mars 08, 2006
mardi, mars 07, 2006
lundi, mars 06, 2006
Charité Croftienne
Le bonheur c'est de trouver une personne dévouée pour m'aider pendant ma semaine rituelle où j'ai envie de bouffer tout le monde.
Quelqu'un de prêt à m'offrir un indéfectible soutien.
Quelqu'un qui endurerait mes pires tourments sans moufter.
Quelqu'un capable de souffrir les plus horribles tortures pour me soulager des miennes.
Ce bonheur, je l'ai trouvé.
Je lui ai cassé ses p'tites pattes une bonne centaine de fois.
Je lui ai fendu le crâne avec entrain.
Je l'ai regardé se noyer les yeux débordants de joie.
Je l'ai laissé se faire embrocher sans bouger.
Je l'ai aussi fait griller lorsque l'occasion m'en était donnée.
Et rien.
Pas une plainte.
Pas une remontrance.
Elle est toujours là.
Vaillante.
Prête au supplice suivant.
Et ça, ça fait trop plaiz'...
Quelqu'un de prêt à m'offrir un indéfectible soutien.
Quelqu'un qui endurerait mes pires tourments sans moufter.
Quelqu'un capable de souffrir les plus horribles tortures pour me soulager des miennes.
Ce bonheur, je l'ai trouvé.
Je lui ai cassé ses p'tites pattes une bonne centaine de fois.
Je lui ai fendu le crâne avec entrain.
Je l'ai regardé se noyer les yeux débordants de joie.
Je l'ai laissé se faire embrocher sans bouger.
Je l'ai aussi fait griller lorsque l'occasion m'en était donnée.
Et rien.
Pas une plainte.
Pas une remontrance.
Elle est toujours là.
Vaillante.
Prête au supplice suivant.
Et ça, ça fait trop plaiz'...
jeudi, mars 02, 2006
Kelko-nne
Passer par l'historique quand on a la flemme de chercher un site, c'est bien.
Quand on n'est pas sur son PC et qu'on tombe sur des choses qu'on n'a pas forcément envie de voir, c'est moins bien déjà.
Quand la première fois n'a pas servie de leçon, là, c'est navrant.
Quand on n'est pas sur son PC et qu'on tombe sur des choses qu'on n'a pas forcément envie de voir, c'est moins bien déjà.
Quand la première fois n'a pas servie de leçon, là, c'est navrant.
dimanche, février 26, 2006
Une année et la nuit phocéenne
Quatre étages au-dessus du vide.
L'angelot de pierre du toit voisin pour seul témoin.
Le boulevard étendu à mes pieds.
Les yeux rivés sur la voiture de police en arrêt.
Les doigts crispés sur le tabouret.
L'extase frôlée à chacun de ses va-et-viens.
L'angelot de pierre du toit voisin pour seul témoin.
Le boulevard étendu à mes pieds.
Les yeux rivés sur la voiture de police en arrêt.
Les doigts crispés sur le tabouret.
L'extase frôlée à chacun de ses va-et-viens.
jeudi, février 23, 2006
mercredi, février 22, 2006
Pas de goyo pour les chfaiks
On devait descendre pour la voir.
Le faire tant qu'il est encore temps.
La prendre dans mes bras, l'embrasser.
Lui présenter l'homme de ma vie, le père de ses futurs arrières-petits enfants.
Prendre des nouvelles, d'elle, de son inséparable frère.
Ca ne se fera pas.
Elle ne sera pas là,
mais à l'enterrement de son frère.
Le faire tant qu'il est encore temps.
La prendre dans mes bras, l'embrasser.
Lui présenter l'homme de ma vie, le père de ses futurs arrières-petits enfants.
Prendre des nouvelles, d'elle, de son inséparable frère.
Ca ne se fera pas.
Elle ne sera pas là,
mais à l'enterrement de son frère.
mardi, février 21, 2006
Call'Za
Ce n'était pas grand chose. Juste un petit coup de fil pour prendre des nouvelles. L'instauration d'un "tu"entre nous. Quelques gentillesses échangées.
Mais c'était bien assez pour me rendre émue.
Mais c'était bien assez pour me rendre émue.
vendredi, février 17, 2006
jeudi, février 16, 2006
(...)
Il faudrait quand même que je lui dise,
comme c'est blessant cette impression que ce n'est pas à moi qu'il fait l'amour,
mais à d'autres images.
Il faudrait.
comme c'est blessant cette impression que ce n'est pas à moi qu'il fait l'amour,
mais à d'autres images.
Il faudrait.
mercredi, février 15, 2006
samedi, février 11, 2006
Osmose Provindentielle
Je les ai regardé tour à tour,
buvant, mangeant, riant,
tout à la joie de partager ce repas,
d'être ensemble pour ses 84 ans,
et j'ai alors réalisé,
que je me sentais des leurs,
sans la moindre réserve,
pleinement,
heureuse...
buvant, mangeant, riant,
tout à la joie de partager ce repas,
d'être ensemble pour ses 84 ans,
et j'ai alors réalisé,
que je me sentais des leurs,
sans la moindre réserve,
pleinement,
heureuse...
vendredi, février 10, 2006
20000 maux sur les lèvres
Désagréable sensation de l'avoir entrainé dans un guet-apens.
La présentation est inaudible, la castafiore horripilante, et l'église aussi glaciale que ses remarques assassines. Le ballet des mains du violoniste ne suffit pas à me faire desserrer les dents. Je n'ai qu'une envie, qu'on en finisse au plus vite.
Stun miracle!
Mon PC s'apelle Jésus Christ (oui, c'est le premier nom qui m'est venu quand window 'a posé la question).
Aujourd'hui, Jésus s'est rebellé quand je lui ai demandé de passer un CD d'Ella Fitzgerald.
Du coup, armée de ma grande douceur légendaire et de mon pacifisme le plus profond, je lui ai collé une baffe légendaire sur sa facade droite.
Et là, JC, ce petit con a décidé de me faire le coup du disque mort ("Agad', je fais vachement bien le disque mort!").
Des dizaines de milliers de tentatives de branchements divers et variés et environ 10 vendeurs micro ("Ah bah non, il date de Mathusalem votre PC, on n'a plus ce genre de pièces") plus tard, je décidais, JC me tendant sa facade gauche, de lui coller une autre baffe magistrale.
Miracle, JC résurectait d'entre les PC morts...
On a alors décidé d'un commun accord de vivre en paix et en harmonie.
Aujourd'hui, Jésus s'est rebellé quand je lui ai demandé de passer un CD d'Ella Fitzgerald.
Du coup, armée de ma grande douceur légendaire et de mon pacifisme le plus profond, je lui ai collé une baffe légendaire sur sa facade droite.
Et là, JC, ce petit con a décidé de me faire le coup du disque mort ("Agad', je fais vachement bien le disque mort!").
Des dizaines de milliers de tentatives de branchements divers et variés et environ 10 vendeurs micro ("Ah bah non, il date de Mathusalem votre PC, on n'a plus ce genre de pièces") plus tard, je décidais, JC me tendant sa facade gauche, de lui coller une autre baffe magistrale.
Miracle, JC résurectait d'entre les PC morts...
On a alors décidé d'un commun accord de vivre en paix et en harmonie.
Interruption momentanée des programmes
Retour après agression d'une petite vieille
pour lui tirer son sac
et achat d'un nouveau PC.
pour lui tirer son sac
et achat d'un nouveau PC.
jeudi, février 09, 2006
mercredi, février 08, 2006
mardi, février 07, 2006
Culturons nous la gueule
Tout le monde, ou presque (soyons optimiste, et pensons qu'il s'agit d'une infime partie de la population), connaît ça :
Le fameux Jugement Dernier peint par Michel-Ange sur les murs de chapelle Sixtine.
Mais je doute que parmi ce "tout le monde" cité plus haut, la totalité connaisse ce petit détail amusant.
Allez donc voir la peinture en grand et concentrez vous sur cette partie :
Qu'est-ce qu'on peut y voir ?
Ca :
Et qu'est-ce donc, me direz vous...
Bah, en fait, ça :
Autrement dit, sinon une des premières, tout au moins une des plus belles représentations de fistfucking.
Voilà.
Stoutpourlemoment.
Ravie de vous avoir appris un truc à resservir pendant vos repas de famille, séminaires ou autres barmitzvah
Le fameux Jugement Dernier peint par Michel-Ange sur les murs de chapelle Sixtine.
Mais je doute que parmi ce "tout le monde" cité plus haut, la totalité connaisse ce petit détail amusant.
Allez donc voir la peinture en grand et concentrez vous sur cette partie :
Qu'est-ce qu'on peut y voir ?
Ca :
Et qu'est-ce donc, me direz vous...
Bah, en fait, ça :
Autrement dit, sinon une des premières, tout au moins une des plus belles représentations de fistfucking.
Voilà.
Stoutpourlemoment.
Ravie de vous avoir appris un truc à resservir pendant vos repas de famille, séminaires ou autres barmitzvah
An english way of life
Cette nuit, j'ai croisé Eve dans un jardin.
Eve...
Notre mère à toutes.
La Femme par excellence.
Ses longs cheveux enveloppant son corps d'un voile de pudeur.
Un teint de lait.
Des lèvres finement ourlées, légèrement entrouvertes en une moue ravissante.
De grands yeux candides plein d'une infinie bonté.
Cette nuit, donc, j'ai croisé Eve dans un jardin.
Je me suis retourné vers elle.
Et au nom de toutes les agitées hormonales qui souffrent mois après mois d'un pêché qu'elles n'ont pas commis, je lui ai dit :
CONNASSE!
Eve...
Notre mère à toutes.
La Femme par excellence.
Ses longs cheveux enveloppant son corps d'un voile de pudeur.
Un teint de lait.
Des lèvres finement ourlées, légèrement entrouvertes en une moue ravissante.
De grands yeux candides plein d'une infinie bonté.
Cette nuit, donc, j'ai croisé Eve dans un jardin.
Je me suis retourné vers elle.
Et au nom de toutes les agitées hormonales qui souffrent mois après mois d'un pêché qu'elles n'ont pas commis, je lui ai dit :
CONNASSE!
samedi, février 04, 2006
vendredi, février 03, 2006
Le monde merveilleux des chômeurs me lourde...
Soit je fais une crise de nerfs et je fais cramer l'agence ANPE qui (je cite)"hélas, ne peut rien pour [moi]".
Soit je me mets aux anxiolytiques+shit+alcool et je n'en aurai plus rien à fioutre.
Le plus navrant est de me rendre compte que lorsque je trouve ze annonce for me sitôt la candidature déposée dans la boîte j'attend fébrilement, regardant de façon compulsive si je n'ai pas un message sur mon téléphone. Alors que je sais pertinament que la lettre, elle, est toujours au fond de la boîte postale.
Alors pour mon édification personnelle, regardons tout de suite ces quelques femmes qui attendent, et prendons z'en de la graine.
Soit je me mets aux anxiolytiques+shit+alcool et je n'en aurai plus rien à fioutre.
Le plus navrant est de me rendre compte que lorsque je trouve ze annonce for me sitôt la candidature déposée dans la boîte j'attend fébrilement, regardant de façon compulsive si je n'ai pas un message sur mon téléphone. Alors que je sais pertinament que la lettre, elle, est toujours au fond de la boîte postale.
Alors pour mon édification personnelle, regardons tout de suite ces quelques femmes qui attendent, et prendons z'en de la graine.
mercredi, février 01, 2006
mardi, janvier 31, 2006
Pavlochfaik
Il aura suffit qu'il hausse un peu la voix, d'un geste un peu brusque pour que je reprenne ces automatismes de défense que je pensais oubliés.
L'espace d'un instant, je redeviens cette petite chose terrorisée, ne sachant où fuir pour ne pas me retrouver avec la souris encastrée dans la gueule.
Et puis je réalise.
Lui n'est pas comme ça.
Je n'ai plus rien à craindre.
Enfin.
Alors je laisse la peur glisser le long de mes joues faisant place à la honte d'avoir dévoilé cette faiblesse.
L'espace d'un instant, je redeviens cette petite chose terrorisée, ne sachant où fuir pour ne pas me retrouver avec la souris encastrée dans la gueule.
Et puis je réalise.
Lui n'est pas comme ça.
Je n'ai plus rien à craindre.
Enfin.
Alors je laisse la peur glisser le long de mes joues faisant place à la honte d'avoir dévoilé cette faiblesse.
lundi, janvier 30, 2006
samedi, janvier 28, 2006
vendredi, janvier 27, 2006
jeudi, janvier 26, 2006
jeudi, janvier 19, 2006
mercredi, janvier 18, 2006
mardi, janvier 17, 2006
du shinju et de l'ordre des cordes liées
J'aime
Chercher sa bouche, sa peau, son sexe du bout de la langue, les yeux soigneusement bandés.
Sentir la corde mordre les chairs les plus tendres à chacun de ses coups de reins.
Entendre le cliquetis des chaines qui me lient pieds et poings à cette barre.
Qu'il me maintienne sous son autorité.
Qu'il me contraigne à sa volonté.
Subir ses désirs jusqu'à la volupté.
Chercher sa bouche, sa peau, son sexe du bout de la langue, les yeux soigneusement bandés.
Sentir la corde mordre les chairs les plus tendres à chacun de ses coups de reins.
Entendre le cliquetis des chaines qui me lient pieds et poings à cette barre.
Qu'il me maintienne sous son autorité.
Qu'il me contraigne à sa volonté.
Subir ses désirs jusqu'à la volupté.
lundi, janvier 16, 2006
La Bertagne, ça me gagne
C'est con.
Je fonctionne à l'anecdotique.
Quand je découvre une tapisserie médiévale sur l'apocalypse, le truc qui me saute à la gueule c'est le derrière du chien, là, en minuscule, dans le petit coin, qu'on voit dépasser.
De la même façon.
Quand je bilane (du verbe bilaner, 5eme groupe) mon week-end, le truc qui me saute à la gueule, c'est la confirmation de mon cassecouillisme, de mon égoisme, et de ma perpetuelle insatisfaction.
Et, je trouve ça vraiment très con
...
mercredi, janvier 11, 2006
Lapôcompris
J'ai découvert grâce à un PJC (petit jeu à la con) envoyé par une personne dont je tairai le nom que la chanson qui résumait le mieux ma philosophie de vie et mon rapport au monde était "Chapi-Chapo"
Alors, juste, je voudrais qu'on 'explique ce que je dois entendre par, je cite :
"Chapi Chapo Patapo, Chapo chapi Patapi, Biribibi Rabada dada".
Alors, juste, je voudrais qu'on 'explique ce que je dois entendre par, je cite :
"Chapi Chapo Patapo, Chapo chapi Patapi, Biribibi Rabada dada".
mardi, janvier 10, 2006
samedi, janvier 07, 2006
vendredi, janvier 06, 2006
jeudi, janvier 05, 2006
mardi, janvier 03, 2006
Da lec'h all
Marseille, des queues-de, le mont Saint-Michel, 422.1km, l'homme de ma vie, les chateaux de la Loire, le Louvre, une escapade en montgolfière, Saint-Propère et les bulots, un bonhomme de neige juinetiste, un café avec une souris d'1m70, un homme des bois, Joe Dassin, des kebab en vitraux, un architecte fou, Bourges et son postérieur sculpté, le labyrinthe de Chartres, des pillux, Joyeux et Atchoum au fond d'une ruelle, des forts qui lattent, de l'air lyonnais, des liens, soeur Emmanuelle, un James Bond nain, Beg ar Raz, l'océan, des kidnappings, Montmartre au petit matin, l'amour derrière les phares, une poulpomanie qui se développe, un chemin bordé de vers luisants, des yeux bandés, une étoile filante, madame T'wam, des maisons en poils, monsieur Chat, un de touchage de couille qui tombe à l'eau (le touchage, pas la couille), du piquassiettage, des caresses, des gabarres, des métros soumis à la gravité, des concours de maisons illuminées, du bon vin, des mots doux, des overdoses d'endorphine, des projets, des envies et toutes les autres improbabilités...
Je crois qu'on peut raisonnablement dire en tout euphémisme que 2005 c'était quand même une putain de bonne année.
Je crois qu'on peut raisonnablement dire en tout euphémisme que 2005 c'était quand même une putain de bonne année.
lundi, janvier 02, 2006
Bloavez Mat
Prendre la bonne résolution de ne pas prendre de bonnes résolutions.
Ne pas tenir les bonnes résolutions que je n'aurais pas pris.
Et s'il me reste du temps, ou un peu de volonté, voir même seulement quelques grammes de bon sens, envisager la possibilité de commencer éventuellement à arrêter de fumer.